Evolution

“Nos ancêtres n’étaient ni des singes, ni des hommes des cavernes originaires d’Afrique. Une vision plus profonde et élargie de notre passé révèle des processus bien plus sophistiqués que l’idéologie darwinienne selon laquelle nous provenons de ces créatures sauvages.”

Les idées évolutionnistes de Darwin selon laquelle l’Homme descend du primate ont toujours causées de vifs débats au sein de la communauté scientifique. En effet, nombreux sont les chercheurs qui ont relevé l’absence de preuves solides concernant cette théorie. Encore faut-il avoir l’esprit libre et prendre le temps de les écouter. Souvent, nous oublions de réviser nos positions, notre compréhension relative à un sujet donné et nous transformons de simples informations en croyances plutôt qu’en un champ fertile de questionnements continus. C’est dans ce cadre-là que je vous invite à découvrir mes travaux portant sur la falsification de nos origines. Ce n’est qu’à travers le dévoilement de l’histoire de la paléontologie et les failles de la théorie de l’évolution que l’auditeur pourra enfin se libérer l’esprit de ses croyances et se concentrer vers d’autres perspectives plus sérieuses sur la question.

 

Nos origines sont bien plus mystérieuses que ce que l’on veut nous faire croire. À travers le fil de mon existence, j’ai ouvert mon esprit à d’autres processus bien plus sophistiqués que la fraude de descendre du singe. J’ai découvert qu’il existe en réalité autant de réponses, de points de vue, d’interprétations et de visions différentes que d’auteurs traitant de ces questions. Il incombe à chacun de faire des liens et d’explorer des angles différents afin d’élargir son potentiel de compréhension. 

Au cœur de nos recherches, des mythes se dévoilent, décrivant des concepts qui nous dépassent largement. Ils évoquent des cycles et des sous-cycles s’entrelaçant sur des échelles temporelles et spatiales si complexes que notre esprit peine à les concevoir.  Ces mythes révèlent l’existence de nombreuses civilisations qui ont prospéré bien avant nous, possédant une sagesse et une connaissance bien plus avancées que les vestiges que nous avons hérités. Leurs réalisations et leur compréhension du monde étaient d’une intelligence inégalée, surpassant de loin notre propre compréhension.  Il est crucial de d’étendre nos recherches afin d’en percevoir les enseignements.

Pour cela, il faut s’ouvrir à des conceptions parfois étrangères : traditions anciennes, physique quantique, métaphysique, mythologie, occultisme et sciences ésotériques se révèlent être des sources de connaissances pour ceux qui veulent bien s’y intéresser. Je crois que la première démarche à entreprendre dans ce long périple vers la connaissance est celle de l’humilité. Accepter de ne pouvoir rien affirmer catégoriquement représente un défi dans notre société où l’on est habitué à recevoir toutes les réponses sur un plateau d’argent. Remettre en question nos croyances sur une question si complexe est la clé pour celui qui souhaite questionner le monde et tirer des enseignements sur son existence. Encore faut-il s’en donner les moyens. 

À l’heure de la paresse intellectuelle, de la baisse de l’attention et du raccourcissement des contenus, peu de personnes empruntent véritablement cette voie qui, pourtant, indépendamment de ses découvertes, se révèle d’une grande richesse intérieure. Les réponses ne se trouvent pas à l’extérieur de soi, la “vérité” ne se trouve dans aucun livre, mais s’incarne dans le moment présent. Les livres ne sont que des outils matériels extérieurs qui aident à la compréhension de qui nous sommes. Nous pourrons écouter tous les plus grands sages et lire l’ensemble des plus grandes œuvres scientifiques, philosophiques et théologiques à travers le monde, mais nous constaterons avoir encore plus de questions sans réponses qu’au départ, car nous aurons regardé dans la direction opposée. Notre origine n’est pas à l’extérieur de nous, mais à l’intérieur.