Histoire raciale et occulte

« l’Histoire doit intégrer l’anthropologie et la biologie pour étudier les faits et événements passés. Elle ne doit pas faire de distinction entre l’étude des sociétés humaines et des groupes humains. »

L’Histoire des peuples, la « Bio-Histoire » (histoire biologique) ou « Histoire raciale » est une conception de l’Histoire intégrant l’anthropologie et la biologie pour étudier les faits et événements passés. Contrairement à bon nombre de méthodes pseudo-historiques, elle ne fait pas de distinction entre l’étude des sociétés humaines et des groupes humains. Cette particularité permet de dégager une compréhension beaucoup plus large des phénomènes culturels et civilisationnels à travers le temps.

Afin de comprendre l’origine et le déroulement des civilisations humaines à travers le monde, il est essentiel d’identifier les facteurs qui conditionnent leurs existences. Bien que s’aventurer vers un tel questionnement nous amène toujours vers des schémas multifactoriels, nous noterons que le principal facteur permettant l’émergence des civilisations réside dans l’intelligence de ses créateurs. En effet, une société développée sur les plans économique, social, politique et culturel repose nécessairement sur une organisation complexe composée d’individus compétents. La construction d’arts, de sciences, d’architectures et de cultures raffinées nécessite des capacités intellectuelles élevées qui ne sont pas à la portée de tous. Ces capacités sont la matière première des peuples bâtisseurs.

Ainsi, la capacité créatrice et civilisationnelle de l’humanité est intrinsèquement liée à des groupes ou des populations dotés d’un niveau élevé d’intelligence. Des études scientifiques ont démontré que l’intelligence est largement transmise par les gènes. De la même manière que nous héritons des traits biologiques de nos parents, tels que les connexions musculaires, nous héritons également de leurs connexions cérébrales et du quotient intellectuel. Il en découle que ce n’est pas l’éducation qui joue un rôle prépondérant, mais plutôt l’intelligence héritée des parents, qui influencera ensuite l’éducation qu’ils souhaiteront offrir à leurs enfants. Or si chacun à ses propres spécificités intellectuelles, les groupes d’individus portant des gènes en commun ne sont pas épargnés. Les différences entre les groupes ethniques expliquent les différences significatives d’innovation et de développement observées depuis des millénaires entre les populations à travers le monde. Le climat d’une région ou son terrain peut apporter des difficultés supplémentaires mais n’explique pas toutes ces inégalités civilisationnelles observables. Il est coutume d’oublier que partout le monde a vu fleurir tour à tour, et sur les mêmes sols, la barbarie et la civilisation. Les races ont connu toutes les conditions de lieux et de climats les plus diverses, habitant indifféremment les pays glacés, tempérés, torrides, le bord des mers, des lacs et des rivières, le fond des bois, les prairies herbeuses, ou les déserts arides.

A travers la planète, beaucoup de peuples primitifs habitent aujourd’hui dans des régions jadis pénétrées d’intelligence où vivaient de grandes civilisations désormais éteintes. Sachant que les peuples transmettent dans une certaine mesure leur intelligence à travers leur descendance, pourquoi mis à part l’Europe et certains coins d’Asie, l’essentiel des grands chefs-d’œuvre civilisateurs n’a pas perduré en Inde, en Amérique du Sud, en Polynésie, en Afrique ou au Moyen Orient ? Qu’est-ce qui explique qu’il pu y avoir un tel déclin dans certaines régions ? Pourquoi dans leurs mythes fondateurs on retrouve la mention d’êtres blancs civilisateurs ? Si la population n’avait pas changé, les descendants de ceux qui ont fondé les grandes civilisations précolombiennes, égyptiennes, mésopotamiennes ou indo-aryennes auraient dû perpétuer une certaine forme de connaissances scientifiques et techniques grâce à leurs ancêtres. Or, nous observons un fossé immense entre les peuples amérindiens, orientaux ou indiens actuels avec les anciens habitants de ces mêmes régions. Contrairement à l’Europe qui n’a cessée de se développer et d’innover constamment, nous observons que les autres régions du monde ont toujours été dépendantes de l’extérieur pour s’élever. 

L’idée selon laquelle une population aussi rudimentaire que celle des indigènes boliviens actuels (les Aymaras) aurait pu, par le biais de ses ancêtres directs, construire l’ancienne civilisation de Tiwanaku est aussi absurde que de croire qu’un enfant de trois ans pourrait inventer un ordinateur. Elle représente l’un des plus grands sites archéologiques d’Amérique du Sud, situé près du lac Titicaca dans l’ouest de la Bolivie et regorge de structures monumentales, de systèmes d’irrigation et de canalisation complexes, de réseaux d’égouts et de temples somptueux dont la précision des blocs taillés au millimètre près interroge encore aujourd’hui les chercheurs. Tous ces aménagements ont été depuis abandonnés et inutilisés par les locaux. Dans l’épisode « Tiwanaku the south American Stonehedge » de la série « Ancient Americas », Tristan et le Dr Alexei Vranich ont constaté la primitivité de la population locale qui vie dans des habitations en terre, n’a pas d’eau courante et est incapable de concevoir des formes d’organisations complexes. Pourtant certains historiens ont voulu leur attribuer la prouesse d’avoir construit Tiwanaku dont certaines pierres de 20 tonnes ont été transportées à des kilomètres de distance à travers des montagnes et des lacs… 

On retrouve les mêmes absurdités partout sur la planète. Malgré les études génétiques sur les anciennes momies d’Egypte, on vous fera croire que les Égyptiens actuels sont identiques de ceux qui ont bâti les pyramides. D’autres tenteront de vous faire croire que la maîtrise des sciences et de la métaphysique dans l’Inde antique sont des réalisations de la population indienne actuelle. Ces croyances relèvent d’une méconnaissance de l’Histoire et de ses dynamiques. La vie sur Terre est conditionnée depuis l’aube des temps par des cycles de migrations, de mélanges et de disparitions de peuples. Le schéma actuel que nous avons de la disposition des races à travers les continents n’est que celui de notre époque récente. A des époques antérieurs, il n’y avait pas d’Arabes en Afrique du nord, pas de Mongols au Lac Baïkal, pas de Chinois au Turkestan, pas plus que l’Indien actuel n’existait. Mais comme le démontre l’étude de l’histoire ancienne et de l’archéologie que j’expose dans mes travaux, on retrouve les traces de la race blanche en Asie, en Afrique du nord ou en Amérique. C’est eux qui ont pu aux âges oubliés, bâtir les civilisations lointaines dont ne pouvons attribuer le chef-d’œuvre aux locaux actuels. Ils se démarquèrent par leur capacité constante et essentielle de créer, contrairement au grand nombre de groupes répandus dans toutes les parties du monde qui sont des populations grossières, l’Afrique, l’Inde, l’Amérique du Sud et une grande partie de l’Asie. Sans l’influence des migrations et des échanges, ces embryons de sociétés n’auraient jamais pu s’élever.

Si il est indéniable que l’existence des grandes civilisations sont dû aux caractéristiques des hommes qui les ont fondé, alors s’intéresser à ses évolutions à travers l’histoire permet de mieux comprendre comment est façonné le monde et qui joue un rôle déterminant dans les processus civilisationnels. S’intéresser à l’histoire des races à travers le temps et l’espace permet donc d’arborer une vision plus large et plus haute des dynamiques historiques. Ainsi la Bio-histoire est une méta-histoire au sens où elle représente un domaine de réflexion qui se situe bien au-delà de l’histoire « conventionnelle » qui rapporte simplement les faits et événements passés sans en étudier les causes profondes.

« A mesure des âges, notre espace vital s’est considérablement réduit, provoquant la chute de nombreuses civilisations et la disparition intégrale de certaines branches. De tous les peuples que nous connaissons actuellement et qui vivent sur les ruines d’anciennes civilisations marquantes : amérindiens, asiatiques, indiens, nord-africains, aucun n’a pu démontrer une ingéniosité équivalente aux œuvres architecturales, scientifiques et métaphysiques qu’ils les précèdent. »

Après avoir embrassé d’un coup d’œil le cours du temps jusqu’au plus lointain, on voit s’étaler sur le monde la même force civilisatrice. Elle incarne tout ce qu’il y a de grand, de noble, de fécond sur la terre, en fait de créations humaines. La science, l’art, la civilisation, ramène l’observateur vers un point unique, n’est issu que d’un même germe, n’a résulté que d’une seule pensée, n’appartient qu’à une seule famille dont les différentes branches ont régné dans toutes les contrées policées de l’Univers. 

En des temps reculés, la race blanche n’était pas uniquement présente en Europe mais aussi en Afrique du nord, au Moyen-Orient, en Asie, en Amérique et dans les îles du Pacifique. Ces allégations étranges ne sont pas le fruit d’un roman fictif écrit par un auteur névrosé mais bien le constat objectif des recherches archéologiques et anthropologiques à travers la planète. Depuis longtemps, nous avions oubliés qui nous sommes et où nous étions. Il fallut alors que ressurgissent véritablement les faits du passé grâce à l’émergence des investigations historiques, archéologiques et anthropologiques dès le 19e siècle. Depuis, les preuves de cette histoire cachée n’ont cessé de s’étendre vers des horizons plus lointains encore. Si aujourd’hui la majorité des blancs croient que le seul continent ayant appartenu plusieurs millénaires à leurs lointains ancêtres est l’Europe, ils méconnaissent une face primordiale de l’Histoire.

 

A mesure des âges, notre espace vital s’est considérablement réduit, provoquant la chute de nombreuses civilisations et la disparition intégrale de certaines branches. Chaque amoindrissement de notre espace vital réduit notre expression raciale et spirituelle. Ce processus s’est déroulé dans des régions parfois si éloignées des nôtres que nous n’en suivons les phases qu’avec difficulté.

Que ce soit aux confins de l’Asie centrale, de l’Inde antique ou bien au-delà du Tibet, l’élément blanc a tissé des liens puissants avec l’Asie depuis l’apparition de notre espèce. En Afrique du nord et au Moyen-Orient, il irrigua les champs fertiles et éleva des cités prospères. En Amérique, malgré sa nette infériorité numérique, il s’est hissé au-dessus de la hiérarchie des peuples et érigea de véritables chefs-d’oeuvre architecturaux.

Mais la civilisation ne se limite pas à des réalisations matérielles ou technologiques, elle englobe également la dimension intérieure de l’être humain et représente l’expression de la capacité de l’humanité à se développer spirituellement, intellectuellement et socialement. La civilisation véritable est le reflet de la capacité de l’humanité à se connecter à des réalités supérieures et à manifester des valeurs spirituelles dans tous les aspects de la vie. La civilisation est un processus évolutif où les individus et les peuples progressent vers des niveaux de conscience plus élevés. Elle est liée à l’épanouissement de l’âme et à la réalisation du potentiel humain. La civilisation authentique favorise l’autonomie intellectuelle et spirituelle des individus, tout en encourageant leur interdépendance harmonieuse au sein d’une communauté organique.

Dans la perspective de la préservation de la civilisation, il est nécessaire de garantir le maintient de notre territoire. Notre identité biologique, culturelle et spirituelle distincte dépend avant tout de notre espace vital, c’est à dire de notre lieu d’expression. Cette conception métaphysique de l’espace vital souligne la relation intime entre un peuple et sa terre, considérée comme une extension de son être collectif. L’histoire des peuples et des nations est façonnée par leurs interactions avec leur environnement géographique et leur quête d’épanouissement. Selon cette perspective, la pérennisation de notre espace vital est un élément intrinsèque à notre développement naturel mais surtout à l’expression de nos aspirations profondes. Ce processus dynamique nécessite une recherche constante de la vérité, de la beauté et de la bonté, tout en respectant l’harmonie entre l’homme, la nature et les dimensions supérieures de l’existence.